Indexation de juin 2018 : compléments d’informations

Record battu : 119 nouveaux taureaux indexés en ISU !

Depuis l’arrivée de la génomique, jamais une indexation avait connu l’arrivée d’un tel nombre de nouveautés ! Leur ISU moyen s’établit à 137 points  (lien nouveaux taureaux), celui des 109 sans fille dans leurs index dépassant les 140 points.

Aujourd’hui 32 taureaux Montbéliards atteignent ou dépassent la barre des 150 points d’ISU (contre 27 il y a un an !). Parmi eux, 17 viennent d’être révélés : leur niveau en lait, santé de mamelle, corps, valeur bouchère et tempérament  dépassent largement les 15 autres avec un apparentement à la population raciale nettement moins élevé (tableau ci-dessous).

Taureaux à 150 et + en ISU

Cependant, beaucoup d’autres taureaux intéressants pour des accouplements judicieux et parfaitement raisonnés à tout point de vue se situent en dessous de 150 points d’ISU ; s’interdire d’aller les chercher serait sans aucun doute une grave erreur lourde de conséquences !

Variations individuelles d’index

Pour chacun des 1040 taureaux nés de depuis 2007 (quelque-soit leur niveau d’ISU), il est possible de consulter leurs principaux index actuels et leur évolution depuis avril 2018 grâce au lien suivant (lien évolution).

Comme entre chaque indexation, les variations moyennes restent minimes (les hausses d’index compensant les baisses) mais masquent de fortes évolutions individuelles de taureaux (voir tableau ci-dessous).

Evolution des 1040 taureaux nés de 2007 à 2016

Plus fortes hausses :

Parmi les 1040 taureaux nés depuis 2007, 38 ont vu leur ISU augmenter entre 3 et 8 points. Pour 25 d’entre eux, l’apport de nouvelles filles reste la raison principale de cette variation positive ; par exemple 7 jeunes taureaux nés en 2013 (les « I ») passent en moyenne de 124 points d’ISU en avril avec 11 filles à 129 en juin avec 55 filles !

Plus fortes baisses :

51 taureaux sont affectés par une baisse de 5 à 14 points d’ISU. Comme pour les variations à la hausse, l’arrivée de nouvelles filles contribue fortement aux  mouvements de baisse. Mais pour certains taureaux sans fille, l’intégration des 1ères femelles dans l’index de leur père, influe directement sur leur propre index !

Evolution moyenne entre avril et juin 2018 (par année de naissance des taureaux)